13.09.06

Ubuntu

Posté dans Geek à 20h37 par Laurent

« Linux for human beings » : son petit surnom ne la fait pas mentir.

Et hop ! J’inaugure une nouvelle rubrique geek, « parce que sous cette montagne d’humanité se cache aussi, en toute modestie, un geek de compétition ».

Et aujourd’hui, je vais vous parler de cette distrib rigolote qu’est Ubuntu. Ubuntu, c’est bien.
Je sais, ne me remerciez pas.
En gros, c’est une Debian, mais avec une jolie interface et plein de boutons pour tout faire. Le test qui prouve que je ne mens pas : essayez d’installer une Fedora sur un Dell Inspiron 1300. Une FC 3, 4, 5, n’importe laquelle. Ensuite, prenez votre petit burin et votre petite galette optique, gravez une Ubuntu, bootez dessus : c’est un live CD avec un icône « ça a l’air joli, vas-y, installe moi ça sur mon disque dur ! »
Le second test qui ne trompe pas : installation d’une imprimante réseau en 1 min chrono. Et pourtant avec ma sarge, j’avais bien galéré…
Bon, c’est clair qu’il reste des bouts à faire, ça reste un linux, hein, qui plus est une Debian ; c’est ça qui est bien aussi parce que ça flatte un peu l’ego du geek qui aime bien ouvrir plein de consoles. Et qui, comme moi, est un fan d’apt. Non, pas la ville de 3 lettres qu’on trouve en vrai dans le Luberon et en indice dans les mots croisés ; non, bande de littéraires, je parle du système de packages de Debian. Apt/dselect, ça permet aussi d’installer ce qu’on veut et uniquement ce qu’on veut. Et de ne pas se retrouver comme dans certaines distros à arrêter / désinstaller des cups/portmap/kudzu (oops j’ai donné un indice, là) alors qu’on avait cliqué sur « non, pas de ça sur mon serveur ».

Alors voilà, mon nouveau portable du boulot est tout joli et tout bien installé. Bon d’accord il manque le driver de la broadcom wireless machin, mais en 2 coups de ndiswrapper ça devrait le faire.
Tiens, faudrait que je fasse un ch’tit post sur ndiswrapper, un jour. Peut-être… (accrochez-vous, en général ça veut dire jamais)

Permalink